Film noir glauque et très violent. Michael Caine trouve là un rôle similaire au Jack Carter de "La loi du milieu" (Get Carter)(1971) de Mike Hodges, mais avec 38 ans de plus. On pense à Bronson et ses personnages de "justicier" en marge de la loi et à Eastwood et son " Grand Torino ", sauf qu'ici c'est encore plus sordide et ( hélas) fascinant, grâce à l'immense talent de Michael Caine. Un thriller qui ne laisse pas indifférent et mériterait un débat.
DVD acheté à Noze pour 1 euro 99
Harry Brown (Harry Brown) (2009) de Daniel Barber
Re: Harry Brown (Harry Brown) (2009) de Daniel Barber
Connais pas…J'y cours (ça tombe bien car je flemmarde cet am). Merci pour le tuyau
Re: Harry Brown (Harry Brown) (2009) de Daniel Barber
Moui, mais ne t'attends pas à un truc au niveau de certains titres cités plus haut.
Le film est intéressant, et surtout, surtout, Michael Caine montre la carrure de l'acteur qu'il a toujours été, ici rehaussée par son propre vécu, c'est-à-dire son âge, qu'il assume avec une sincérité et un courage qui rehaussent nettement le film dans sa crédibilité. Par contre le message véhiculé par Harry Brown va au strict opposé de celui de Gran Torino.
Mais bon, une production Matthew Vaughn (Stardust, le mystère de l'étoile, Kick-Ass, Kingsman... ) vaut toujours le coup d’œil. Et puis le contexte social n'est pas négligé, la force habituelle du cinéma britannique.
Le film est intéressant, et surtout, surtout, Michael Caine montre la carrure de l'acteur qu'il a toujours été, ici rehaussée par son propre vécu, c'est-à-dire son âge, qu'il assume avec une sincérité et un courage qui rehaussent nettement le film dans sa crédibilité. Par contre le message véhiculé par Harry Brown va au strict opposé de celui de Gran Torino.
Mais bon, une production Matthew Vaughn (Stardust, le mystère de l'étoile, Kick-Ass, Kingsman... ) vaut toujours le coup d’œil. Et puis le contexte social n'est pas négligé, la force habituelle du cinéma britannique.
Dans la guerre, il y a une chose attractive : c'est le défilé de la victoire. L'emmerdant c'est avant...
Michel Audiard
Michel Audiard