par HART » 23 janv. 2018, 18:03
Oui , moi aussi , Pak , j'avais ce roman sur mes étagères depuis plusieurs années sans l'avoir lu.
Il était précisément entre " Les nus et les morts " de Norman Mailer et " Mourir ou crever " de James Jones.Deux chefs d'oeuvre de la littérature de guerre qui ont donné deux grands films.
" La peau des hommes " est quand même , à mon avis , un cran en-dessous.
Certains passages me semblent franchement ratés , la permission de Steiner dans un centre de repos balnéaire par exemple.
Il y a beaucoup d'échanges philosophiques intéressants( bonne approche de Kant ), mais assez peu convaincants dans le contexte décrit.
Les scènes de combat sont puissamment évoquées , pas étonnant que Peckinpah se soit régalé...
Cela fait un peu penser à Sven Hassel que tu as certainement lu. Mais, là où Hassel est souvent complaisant ( sauf dans ses tout premiers romans ) , Heinrich garde une grande sécheresse de ton et de style dans son évocation de la violence et de la mort.
Un livre d'envergure , assurément.
Oui , moi aussi , Pak , j'avais ce roman sur mes étagères depuis plusieurs années sans l'avoir lu.
Il était précisément entre " Les nus et les morts " de Norman Mailer et " Mourir ou crever " de James Jones.Deux chefs d'oeuvre de la littérature de guerre qui ont donné deux grands films.
" La peau des hommes " est quand même , à mon avis , un cran en-dessous.
Certains passages me semblent franchement ratés , la permission de Steiner dans un centre de repos balnéaire par exemple.
Il y a beaucoup d'échanges philosophiques intéressants( bonne approche de Kant ), mais assez peu convaincants dans le contexte décrit.
Les scènes de combat sont puissamment évoquées , pas étonnant que Peckinpah se soit régalé...
Cela fait un peu penser à Sven Hassel que tu as certainement lu. Mais, là où Hassel est souvent complaisant ( sauf dans ses tout premiers romans ) , Heinrich garde une grande sécheresse de ton et de style dans son évocation de la violence et de la mort.
Un livre d'envergure , assurément.