par pak » 05 mars 2020, 21:45
Amateurs de cinéma Bis, voire Bis bis, il vous reste quelques jours pour contribuer au financement de l'édition vidéo de quatre films, qu'on va qualifier de culte même si faut pas pousser, en tous cas de films qui ont un certain aura parmi les amateurs de fantastique et de slasher des années 1970-1980, car il y en a, si si, je vous vois !
Ce financement est possible (et d'ailleurs déjà réussi) sur la plateforme
Kiss Kiss Bank Bank.
9 450 € collectés pour un appel de 8 000 €, avec, au moment où je rédige ces lignes, 189 contributeurs.
Il reste cinq jours pour aider au financement, avoir les films à un tarif préférentiel à domicile, avant tout le monde.
Les titres sont rares, parfois (in)attendus.
À tout seigneur tout honneur, commençons par
La Reine du mal, alias
Seizure ! en VO, ben oui, le premier film d'un certain Oliver Stone, sorti en 1974, vaguement distribué en salles chez nous sans passer par Paris, avant d’atterrir dans les bacs vidéos en 1982 par VIP (réédité en 1988 par Proserpine).
Poursuivons avec l’inénarrable
Starcrash, le choc des étoiles de Luigi Cozzi, sorti en 1978. Bien évidemment, cette coproduction italo-américaine ne doit son existence qu'au fameux film de Georges Lucas, dont le titre y fait lourdement référence (encore plus le titre français). Ce film est l'incarnation de la limite du cinéma populaire italien de l'époque consistant à imiter et pomper ce qui marchait aux USA, ça avait parfois fonctionné avec le western, le film de guerre, le polar urbain, mais dans le domaine de la SF qui demandait plus de moyens, là, c'est devenu plus duraille, faute de moyens. Bon, la même année sortait
Zardoz à l'écran. On se demande d'ailleurs si Sean Connery et Caroline Munro ne se sont pas fourni au même endroit pour leur tenue principale... Mais l'une des deux la porte mieux !
Après, (a)mateurs de slasher à l'ancienne, le vrai, celui qui tache, où on découpe de la jeune étudiante cachant un lourd secret, voici donc venir
The House on sorority row qui a fait les beaux jours des bacs vidéos, genre de film qui animait aussi les samedis soirs de la grande époque de Canal+ (sauf le premier de chaque mois, parce que, heu, bon, je sais pas, j'étais au lit moi). Film de Mark Rosman sorti en 1982, réalisateur qui, après s'être fait jeté du tournage de son second film,
Mutant (1984), a rapidement et définitivement viré à la guimauve familiale et pour enfant.
Pour finir, on reste dans le slasher avec
Death warmed up, Licorne d'or au mythique Festival international du film fantastique et de science-fiction de Paris qui se déroulait au Grand Rex, où l'on se balançait farine, PQ et autres joyeusetés si le film était mauvais.
Death warmed up, venu des terres de Peter Jackson, malgré son prix, est rapidement devenu invisible hormis via son édition VHS René Chateau, avant de tomber dans un oubli qui rend cette résurrection Blu-ray presque miraculeuse !
C'est l'éditeur Extralucid Films qui propose ce panel de productions hors normes, sélection qui va du nanar au culte, jeune maison d'édition créée en 2019, et qui lance ainsi une nouvelle collection bien nommée EXTRACULTE !
Amateurs de cinéma Bis, voire Bis bis, il vous reste quelques jours pour contribuer au financement de l'édition vidéo de quatre films, qu'on va qualifier de culte même si faut pas pousser, en tous cas de films qui ont un certain aura parmi les amateurs de fantastique et de slasher des années 1970-1980, car il y en a, si si, je vous vois !
Ce financement est possible (et d'ailleurs déjà réussi) sur la plateforme [url=https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/collection-extraculte-4-films-cultes-en-dvd-blu-ray-collector]Kiss Kiss Bank Bank[/url].
9 450 € collectés pour un appel de 8 000 €, avec, au moment où je rédige ces lignes, 189 contributeurs. [b][u]Il reste cinq jours[/u][/b] pour aider au financement, avoir les films à un tarif préférentiel à domicile, avant tout le monde.
Les titres sont rares, parfois (in)attendus.
À tout seigneur tout honneur, commençons par [b]La Reine du mal[/b], alias [b]Seizure ![/b] en VO, ben oui, le premier film d'un certain Oliver Stone, sorti en 1974, vaguement distribué en salles chez nous sans passer par Paris, avant d’atterrir dans les bacs vidéos en 1982 par VIP (réédité en 1988 par Proserpine).
Poursuivons avec l’inénarrable [b]Starcrash, le choc des étoiles[/b] de Luigi Cozzi, sorti en 1978. Bien évidemment, cette coproduction italo-américaine ne doit son existence qu'au fameux film de Georges Lucas, dont le titre y fait lourdement référence (encore plus le titre français). Ce film est l'incarnation de la limite du cinéma populaire italien de l'époque consistant à imiter et pomper ce qui marchait aux USA, ça avait parfois fonctionné avec le western, le film de guerre, le polar urbain, mais dans le domaine de la SF qui demandait plus de moyens, là, c'est devenu plus duraille, faute de moyens. Bon, la même année sortait [b]Zardoz[/b] à l'écran. On se demande d'ailleurs si Sean Connery et Caroline Munro ne se sont pas fourni au même endroit pour leur tenue principale... Mais l'une des deux la porte mieux !
[center][url=https://www.cinefaniac.fr/image/2020/2987/dkfhngegg.jpg][img]https://www.cinefaniac.fr/image/2020/2987/dkfhngegg.th.jpg[/img][/url]
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Après, (a)mateurs de slasher à l'ancienne, le vrai, celui qui tache, où on découpe de la jeune étudiante cachant un lourd secret, voici donc venir [b]The House on sorority row[/b] qui a fait les beaux jours des bacs vidéos, genre de film qui animait aussi les samedis soirs de la grande époque de Canal+ (sauf le premier de chaque mois, parce que, heu, bon, je sais pas, j'étais au lit moi). Film de Mark Rosman sorti en 1982, réalisateur qui, après s'être fait jeté du tournage de son second film, [b]Mutant[/b] (1984), a rapidement et définitivement viré à la guimauve familiale et pour enfant.
Pour finir, on reste dans le slasher avec [b]Death warmed up[/b], Licorne d'or au mythique Festival international du film fantastique et de science-fiction de Paris qui se déroulait au Grand Rex, où l'on se balançait farine, PQ et autres joyeusetés si le film était mauvais. [b]Death warmed up[/b], venu des terres de Peter Jackson, malgré son prix, est rapidement devenu invisible hormis via son édition VHS René Chateau, avant de tomber dans un oubli qui rend cette résurrection Blu-ray presque miraculeuse !
C'est l'éditeur Extralucid Films qui propose ce panel de productions hors normes, sélection qui va du nanar au culte, jeune maison d'édition créée en 2019, et qui lance ainsi une nouvelle collection bien nommée EXTRACULTE !