Film d'espionnage pas très réussi. Dean Martin a la part belle, en plus du rôle principal, il chante à plusieurs reprises dans le film (en "voix off").
Le film se concentre pas assez sur l'intrigue, d'où ma décéption.
A noter la présence de Cyd Charrise.
3 films suivront pas encore en DVD:
Murderers' Row 1966
The Ambushers 1967
The Wrecking Crew 1969
DVD Z1:
Image et son: OK VOST français
Bonus: Bande-Annonce
http://www.imdb.com/title/tt0060980/
Matt Helm agent très spécial - The Silencers - 1966 - Phil Karlson
- Cole Armin
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Re: Matt Helm agent très spécial (The Silencers) 1966
Vu hier soir sur Cinépolar en VOSTF.
Attendu avec une certaine impatience au vu du casting 4 étoiles (Phil Karlson, Dean Martin et Cyd Charisse), c'est au final une grosse déception.
Comme le souligne Mister Cole, le film s'éparpille assez rapidement, après un générique prometteur.
Très vite le soufflé retombe faute d'une véritable cohérence scénaristique. Matt Helm (Dean Martin peu convaincu et peu convaincant) passe de bras en bras de filles plus ou moins dénudées (point positif : elles sont très belles), au fil d'un intrigue Jamesbondienne éculée et tirée par les cheveux: Un savant fou veut détruire les Etats Unis.
Trop appuyées, trop longues et trop bavardes (la séquence dans la voiture sous l'orage), les scènes comiques font à peine sourire; les bagarres sont dignes d'un spectacle de patronage (ou sont passés la hargne et le réalisme des bastons du Karlson des années 50); la poursuite de voitures est tellement poussive que le crissement des pneus a été boosté au mixage en guise de cache-misère. Jamais la carton pâte de la grotte souterraine d'un méchant n'a été aussi visible à l'écran.
Même le plaisir d'entendre le chant croonérien de Dean Martin est atténué par le playback.
Bon, me direz vous; c'est précisement ce second (voire quinzième) degré qui constitue l'essence de ce film. Oui, mais là ou le OSS de Dujardin réussi l'exercice toujours délicat de la parodie, ce film ne fonctionne pas et semble etre à coté de la plaque.
Au final il reste le plaisir de voir et d'entende Cyd Charisse et une belle photo en couleur. C'est peu.
Grace à Cinépolar je vais donc m'abstenir de regarder les 3 autres opus de la série qui paraît il, sont plus faiblards (est-ce vraiment possible ?) et découvrir le vrai Matt Helm du romancier Donald Hamilton, tueur d'espion dur à cuire.
A ce propos, est ce que l'un d'entre vous pourrait me conseiller un ou plusieurs des 27 romans de la saga pour démarrer sur un bon pied ?
Attendu avec une certaine impatience au vu du casting 4 étoiles (Phil Karlson, Dean Martin et Cyd Charisse), c'est au final une grosse déception.
Comme le souligne Mister Cole, le film s'éparpille assez rapidement, après un générique prometteur.
Très vite le soufflé retombe faute d'une véritable cohérence scénaristique. Matt Helm (Dean Martin peu convaincu et peu convaincant) passe de bras en bras de filles plus ou moins dénudées (point positif : elles sont très belles), au fil d'un intrigue Jamesbondienne éculée et tirée par les cheveux: Un savant fou veut détruire les Etats Unis.
Trop appuyées, trop longues et trop bavardes (la séquence dans la voiture sous l'orage), les scènes comiques font à peine sourire; les bagarres sont dignes d'un spectacle de patronage (ou sont passés la hargne et le réalisme des bastons du Karlson des années 50); la poursuite de voitures est tellement poussive que le crissement des pneus a été boosté au mixage en guise de cache-misère. Jamais la carton pâte de la grotte souterraine d'un méchant n'a été aussi visible à l'écran.
Même le plaisir d'entendre le chant croonérien de Dean Martin est atténué par le playback.
Bon, me direz vous; c'est précisement ce second (voire quinzième) degré qui constitue l'essence de ce film. Oui, mais là ou le OSS de Dujardin réussi l'exercice toujours délicat de la parodie, ce film ne fonctionne pas et semble etre à coté de la plaque.
Au final il reste le plaisir de voir et d'entende Cyd Charisse et une belle photo en couleur. C'est peu.
Grace à Cinépolar je vais donc m'abstenir de regarder les 3 autres opus de la série qui paraît il, sont plus faiblards (est-ce vraiment possible ?) et découvrir le vrai Matt Helm du romancier Donald Hamilton, tueur d'espion dur à cuire.
A ce propos, est ce que l'un d'entre vous pourrait me conseiller un ou plusieurs des 27 romans de la saga pour démarrer sur un bon pied ?
Re: Matt Helm agent très spécial (The Silencers) 1966
celui que j'ai préféré de la série!!!
Re: Matt Helm agent très spécial (The Silencers) 1966
je me souviens de la série tv qui avait été à l'époque déprogrammée de la télévision française à cause de sa grande violence