Cobra - 1986 - George P. Cosmatos
Posté : 13 oct. 2006, 09:00
Le lieutenant Cobretti, dit Cobra (Sylvester Stallone) doit protéger une femme (Brigitte Nielsen) témoin d'un meurtre perpétué par un sadique au service d'une secte de fanatiques.
Produit par le célèbre duo Golan-Globus de la Cannon et réalisé par George Cosmatos (Le pont de Cassandra, Rambo II, Tombstone), ce film policier bien musclé nous narre les formidables aventures du justicier Stallone face à une horde de tueurs fanatiques. Autant dire que ça ne va pas rigoler.
Stallone campe donc le traditionnel flic aux manières expéditives, détesté par ses chefs et fortement désapprouvé par les journalistes, qui se contrefiche des droits des criminels (comme il le dit lui-même : Là où la loi s'arrête, c'est là que j'interviens. Non, mais. ). Comme tout bon superflic qui se respecte, il a la cool attitude : grosses lunettes à soleil et allumette vissée au coin de la bouche, il possède bien évidemment tout l'arsenal du parfait petit justicier urbain (couteau, pistolet, mitraillette, grenades) et il fait crisser les roues de sa voiture au démarage. Cerise sur le gâteau, il a même le portrait de Ronald Reagan dans son bureau. Bref, il a toute les qualités du monde (sauf peut-être un humour lourdingue, mais c'est Stallone quoi).
Il doit donc faire face à une secte de vilains fanatiques, dont la principale occupation est de se rassembler dans les égouts pour entrechoquer deux haches au dessus de leur tête (ne rigolez pas, c'est très sérieux. En plus, c'est l'emblême de leur secte qu'ils ont tous en tatouage sur leur bras musclé). Et pis comme ils sont méchants, on ne comprend pas vraiment leur motivation qui les pousse à massacrer des gens aux hasard. Mais après tout on s'en fiche, tout ce qu'on veux c'est de les voir se faire exterminer par Cobra, dans un déluge de plomd et de fureur (et pour ça, on va être servi ! ). Ils ont donc embauché un tueur psychopathe, qui se fait appeler "l'éventreur de la nuit" (ouh lala ! ) parce qu'ils attaque ses victimes (surtout des femmes) la nuit, sur un parking lorsqu'elles vont chercher leur voiture. En plus, il est interprété par un sosie de Klaus Kinski, alors on comprend très vite qu'on a affaire à un bon psycopathe pur et dur.
Bref, le film ne fait pas dans la dentelle et c'est tant mieux. De l'action à gogo et un Sylvester Stallone en grande forme qui élimine une horde de tueurs sanguinaires à lui tout seul (enfin, avec l'aide de son co-équipier, mais comme tout bon co-équipier qui se respecte, il se fait blesser au moment critique de l'action, laissant le héros se débrouiller seul). Un bon film bien musclé et bien bourrin comme on les aime.
Produit par le célèbre duo Golan-Globus de la Cannon et réalisé par George Cosmatos (Le pont de Cassandra, Rambo II, Tombstone), ce film policier bien musclé nous narre les formidables aventures du justicier Stallone face à une horde de tueurs fanatiques. Autant dire que ça ne va pas rigoler.
Stallone campe donc le traditionnel flic aux manières expéditives, détesté par ses chefs et fortement désapprouvé par les journalistes, qui se contrefiche des droits des criminels (comme il le dit lui-même : Là où la loi s'arrête, c'est là que j'interviens. Non, mais. ). Comme tout bon superflic qui se respecte, il a la cool attitude : grosses lunettes à soleil et allumette vissée au coin de la bouche, il possède bien évidemment tout l'arsenal du parfait petit justicier urbain (couteau, pistolet, mitraillette, grenades) et il fait crisser les roues de sa voiture au démarage. Cerise sur le gâteau, il a même le portrait de Ronald Reagan dans son bureau. Bref, il a toute les qualités du monde (sauf peut-être un humour lourdingue, mais c'est Stallone quoi).
Il doit donc faire face à une secte de vilains fanatiques, dont la principale occupation est de se rassembler dans les égouts pour entrechoquer deux haches au dessus de leur tête (ne rigolez pas, c'est très sérieux. En plus, c'est l'emblême de leur secte qu'ils ont tous en tatouage sur leur bras musclé). Et pis comme ils sont méchants, on ne comprend pas vraiment leur motivation qui les pousse à massacrer des gens aux hasard. Mais après tout on s'en fiche, tout ce qu'on veux c'est de les voir se faire exterminer par Cobra, dans un déluge de plomd et de fureur (et pour ça, on va être servi ! ). Ils ont donc embauché un tueur psychopathe, qui se fait appeler "l'éventreur de la nuit" (ouh lala ! ) parce qu'ils attaque ses victimes (surtout des femmes) la nuit, sur un parking lorsqu'elles vont chercher leur voiture. En plus, il est interprété par un sosie de Klaus Kinski, alors on comprend très vite qu'on a affaire à un bon psycopathe pur et dur.
Bref, le film ne fait pas dans la dentelle et c'est tant mieux. De l'action à gogo et un Sylvester Stallone en grande forme qui élimine une horde de tueurs sanguinaires à lui tout seul (enfin, avec l'aide de son co-équipier, mais comme tout bon co-équipier qui se respecte, il se fait blesser au moment critique de l'action, laissant le héros se débrouiller seul). Un bon film bien musclé et bien bourrin comme on les aime.